Faire face au burn-out
Le burn-out apparaît de plus en plus dans l’entreprise et l’esprit de communauté et de respect de entre les individus sont entrain de disparaître actuellement !
Vu ce contexte, le burn-out ne peut que prospérer. Il est plus fréquent de constater un décalage entre la nature de la personne et son travail.
Nous travaillons souvent dans un cadre où les valeurs humaines sont placées au second plan, loin derrière les considérations économiques de certains dirigeants.
Ce qui nous motive en tant qu’êtres humains, ce qui nous inspire pour bien travailler dur, et est ignoré ou minimisé. Nous sommes censés à nous adapter au monde de l’entreprise !
Nous devons comprendre comment y survivre. mais le décalage entre les individus et les exigences de leur travail est trop grand et le coût humain est très élevé.
Nous retrouvons ce décalage dans la vie de l’entreprise. Le climat professionnel est de plus en plus lourd à supporter pour de nombreux salariés.
Se sentir surmenée
Eléonore travaille dans une compagnie d’assurance qui a essayé de procéder à des coupes budgétaires en réduisant les effectifs à l’essentiel, et elle s’est retrouvée dans la situation de devoir licencier.
Avec un nombre de salariés moins important, la clientèle de chaque employé restant à augmenté, au point que celui-ci n’était plus en mesure de servir correctement ses clients.
<< J’essaie d’être compatissante avec les membres du personnel quand ils évoquent l’impossibilité de gérer la charge de travail, mais je n’ai aucune marche de manoeuvre.
Je leurs dis : << Je sais qu’on travaille vraiment dans de mauvaises conditions, mais on doit tous faire avec et être productifs, sinon, notre service sera supprimé. >>
Je suis convaincue que, si je ne remplis pas mon prochain objectif ou si j’arrête de faire des heures supplémentaires, je ferai partie du prochain groupe d’employés à perdre son emploi.
Alors je suis toujours anxieuse, tendue et irritable. Et je suis épuisée en permanence – avant même d’aller travailler, quand je prépare mes enfants à aller à l’école.
Et je culpabilise énormément à cause du peu de temps que je passe avec ma famille – cela fait deux fois que je reporte mes vacances.
Je ne pense pas pouvoir continuer très longtemps, mais pour l’instant, je ne vois pas d’autre alternative ou peut-être changer d’emploi ou d’envisager une reconversion professionnelle.
Un rythme plus intensif nuit à la qualité des tâches, perturbe aussi les relations entre collègues, tue l’innovation et la créativité – en résumé cela entraîne le burn-out !
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